Le Centre Pompidou tire sa révérence en mode rave monumentale, avec deux jours de concerts, DJ sets et performances sur huit étages. Une fête gratuite, folle, et historique, à vivre sur place ou en streaming.




Photos : Centre Pompidou/KBSP/DR
Beaubourg s’en va en musique, pas en silence
C’est une fin qui ressemble à un feu d’artifice sonore. Avant de fermer ses portes pour plusieurs années de travaux, le Centre Pompidou a décidé de faire ce qu’il sait faire de mieux : vibrer. Et pour ça, il a convié le label Because à orchestrer une fête d’adieu qui dépasse toutes les attentes. Deux jours et deux nuits de concerts, DJ sets, projections, masterclasses et performances immersives, répartis sur les huit étages du musée. Une sorte de rave culturelle, gratuite en journée, complète le soir, mais accessible à tous grâce à une diffusion en direct. Beaubourg ne s’éteint pas, il explose.






Photos : Centre Pompidou/KBSP/DR
Justice, Shygirl, Christine and the Queens… la crème au sommet
La programmation est à la hauteur du lieu : mythique. Vendredi, Sébastien Tellier, Keziah Jones, Catherine Ringer et Asa Moto ont ouvert le bal. Samedi, place à Ed Banger Records, Tatyana Jane, Shygirl, MYD, Christine and the Queens et un B2B rare entre Pedro Winter et Erol Alkan. Une affiche digne des plus grands festivals, mais dans un musée. Et pas n’importe lequel. Les billets des soirées sont partis en quelques battements de BPM, mais pas de panique : une partie des concerts est diffusée en direct sur la chaîne YouTube du Centre Pompidou. Une manière de faire vivre l’événement au-delà des murs, jusqu’à votre salon, vos écouteurs, votre cœur.





















Photos : Centre Pompidou/KBSP/DR
Dernier souffle avant le silence
Ce week-end, Beaubourg devient une boîte de nuit géante, un temple du son, un terrain de jeu pour artistes et spectateurs. C’est la dernière danse avant le grand sommeil des travaux. Une célébration de l’art, de la musique, de la liberté. Et surtout, une invitation à dire au revoir sans tristesse, mais avec du groove plein les jambes.





Photos : Centre Pompidou/KBSP/DR





